Parmi toutes ces personnes qui sont connectées, comme moi, sur les réseaux sociaux : combien sont fondamentalement tristes, en ce moment ? Combien cherchent sans le savoir un peu de réconfort, en contemplant tous ces contenus partagés sur la Toile ?
Un peu de présence, rien que ça, pour affronter le présent.
Le bouche à oreille, la main dans la main
La communication me passionne. Mais pas simplement cette communication massive, superficielle, plus ou moins créative, qui emplit nos écrans à longueur de journée. Le marketing, la publicité, sont des champs incroyablement riches qui éveillent mon intérêt.
Reste la communication entre les personnes. Le bouche à oreille, dans son acception véritable. Sortir prendre l'air. Marcher le long de la Seine, en discutant ; dans ce décor automnal. Savoir qu'on n'est pas seul ici, que l'on compte pour quelqu'un. Qu'un(e) autre est là. Et que l'on peut se confier, réellement.
Combien, parmi les personnes que je côtoie virtuellement tous les jours, cherchent le sommeil, tous les soirs ? Combien sont assaillies de doutes ? Combien ont un nœud dans le ventre ? Combien comptent les moutons, en vain ?
Un peu de lecture, un peu d'espoir
Je n'ai pas grand chose à vous apporter, malheureusement, si vous êtes dans cette situation. Je peux simplement vous inviter à lire certains de mes billets :
- You're gonna be okay.
- Demain tout ira mieux, tu verras.
- L'espoir fait vivre.
- Vivre un bonheur universel.
Vous dire aussi que, dans une vie, il y a plusieurs époques. Je suis passé plusieurs fois par des moments merdiques, où j'avais cette phrase de Beckett qui me revenait en boucle : “quand on est dans la merde, jusqu'au cou, il ne reste plus qu'à chanter”.
En parlant de chanter, je vous laisse avec cette chanson de Stromae qui vous plaira peut-être.
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