L 'œil s'ouvre. Il est 7h, et mon réveil me tire d'un rêve probablement merveilleux. J'ai les yeux encore pleins de sommeil. Comme 60 % des Français , je consulte pourtant mon téléphone dès les premiers instants de la journée. Et comme une personne sur deux , je regarde si j'ai des notifications sur Facebook, ou Twitter. Devant ma rétine défilent déjà des contenus variés, des photos, des actualités, des publicités diverses, des messages de toutes sortes. Des mails. Mes yeux savent où regarder, où piocher l'information, ils n'errent pas en vain sur une page web. Ils viennent cueillir, simplement, le message inbox, dès lors qu'ils repèrent l'icône en haut à droite. La journée commence. D'ici quelques minutes, je serai dans la rue, sur mon vélo, ou dans le métro. Je verrai alors Paris, sous un soleil étincelant. Tous ces gens qui s'affairent, qui se pressent, qui se ruent, se bousculent. Je verrai ces mines réjouies, aussi, à la terra