Accéder au contenu principal

Les 10 Bonnes Raisons De Cliquer Sur Un Lien

Lorsque l'on clique - du bout de son curseur ou de son doigt - sur un lien, on ne le fait pas sans raison. Il y a en fait une multitude de motifs.

Pourquoi, donc, clique-t-on sur un lien ?

  • 1 - Pour obtenir une information intéressante :
C'est toujours bien de pouvoir briller lors de certains dîners mondains, ou se la raconter, tout simplement, autour d'un barbecue moins mondain.

Voici quelques infos récentes : 

- Un biopic sur Lance Armstrong (le cycliste déchu) sera tourné dès l'automne prochain.
- BlackBerry ne parvient pas à remonter la pente aux États-Unis. Seuls 1,1 % des smartphones vendus aux US sont désormais équipés de son OS, contre 4 % un an plus tôt. Ça sent la fin.
- L'hiver interminable a profité à… EDF. Chiffre d'affaires en hausse de 10,7 % pour atteindre près de 40 milliards d'euros. “Ces résultats sont notamment dus au climat froid qui a régné, cet hiver et ce printemps, dans l'Hexagone et sur une bonne partie de l'Europe”.

(astuce : pour suivre toutes les meilleures infos en temps réel sur Twitter, abonnez-vous à cette liste)
  • 2 - Pour découvrir quelque chose de nouveau :
On a l'air intéressant, quand on partage une nouveauté. Mais surtout, ça fait du bien, d'avoir du neuf, du frais, du singulier.

- Des designers rendent les Google Glass autrement plus stylées.

  • 3 - Parce qu'il y a peut-être un truc marrant à l'intérieur :


J'ai bien fait de dire “peut-être”.

Par ailleurs, je ne saurais trop vous recommander le board #WTF de Jef Bouillot
  • 4 - Parce qu'on a été intrigué par le titre :
En l'occurrence, je vous l'accorde, le titre était extrêmement bien trouvé. 

Mais en règle générale, si vous cherchez un bon titre, @naro vous a concocté un billet de blog qui vous aidera. ("Apprenez les 10 techniques de titres qui feront décoller votre blog").
  • 5 - Par simple curiosité, parce qu'on n'a rien de mieux à faire :
Dans ce cas, n'importe quel contenu vous convient, à peu près.

Je peux vous dire, par exemple, que le bonbon est la première cause d'étouffement alimentaire non-mortel chez les enfants. Par exemple.

Ou je peux aussi vous dire que "Cinquante nuances de Grey" donne plus de travail aux pompiers de Londres, qui retrouvent des femmes menottées chez elles, notamment.

  • 6 - Pour la vidéo des meilleurs #Fail avec une fille dénudée en preview : 

Ça se passe de commentaire, je crois…

  • 7 - Pour retrouver du courage, au cours d'une journée mal commencée :
Oui, parfois, on clique pour sortir la tête de l'eau, en espérant un divertissement, un mot d'espoir, une issue.

J'ai déjà écrit pas mal d'articles à ce sujet, donc vous êtes au bon endroit, si ça ne va pas : le dernier en date : You're Gonna Be Okay.
  • 8 - Parce qu'on clique sur tous les liens que l'on voit passer, de toute façon :
Si c'est plus fort que vous, que vous ne pouvez pas vous en empêcher, que vous cliquez frénétiquement toute la journée, sur chaque lien qui passe sous vos yeux, encore et encore…

Eh bien, dans ce cas, il est naturel que vous soyez arrivé ici. :) Et vous y reviendrez sans doute, que vous le vouliez ou non.
  • 9 - Parce qu'on aime bien la personne qui a publié ce lien :
Moi aussi je vous aime.
  • 10 - Enfin, pour avoir quelque chose à partager avec ses amis :
Si vous m'aimez, vous savez ce qu'il vous reste à faire. 



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Puisqu'il faut vivre avec

J e ne sais même pas par où il faudrait commencer. Ce n'est finalement pas simple d'écrire face à une situation inédite, imprévisible, surprenante, historique. J'ai plutôt l'habitude de décrire ici de petits aspects du quotidien, de partager des réflexions personnelles, sans grande prétention. Soudain, le monde s'écroule. Tenir un blog en pleine crise sanitaire mondiale apparaît quelque peu illusoire.  J'écrivais pourtant, sur ce même blog, il y a plusieurs années maintenant, ce sentiment de vivre depuis ma naissance le temps des crises perpétuelles . J'entendais parler depuis toujours - du moins était-ce mon sentiment - de crise. Crise de l'éducation nationale, crise du travail, crise identitaire, crise de l'hôpital, crise écologique bien sûr, crise migratoire, crise économique, j'en passe et des meilleurs. La crise était devenue la norme. Et c'est de nouveau le cas, il me semble. Nous vivons l'époque d'une crise continue.

Ni pour, ni contre, bien au contraire

C ela fait un moment qu'aucun mot n'a été écrit sur ce blog. Les années passent. Je perds cette - bonne - habitude. Plus globalement, je partage moins mes pensées, mes envies, mes doutes sur les médias sociaux. J'ai un peu du mal à me positionner dans les débats quotidiens, un peu du mal à entrer dans l'arène des polémiques diverses, des controverses incessantes. Je n'ai plus envie ni d'être pour, ni d'être contre. Je ne réclame ni la démission d'untel, ni ne m'emballe pour le respect de la présomption d'innocence.  Je rêve de nuance, de précision, d'intelligence, de juste mesure. Je rêve de discussions, de conversations, où l'on prend autant de l'autre qu'on ne contribue soi-même à faire avancer une juste cause. Les duels exacerbés, systématiques, m'usent peu à peu. J'imagine que je ne suis pas le seul dans cette situation, à contempler sans mot dire les violentes échauffourées des plateformes sociales. Le temps de la jou

Derrière les mots et les images des médias sociaux

J amais il n'y avait eu de si longues périodes de silence sur mon blog. Aucun post depuis février. Je crois que j'avais besoin de prendre un peu de recul. De m'interroger aussi sur ma présence en ligne. Allez savoir si c'est l'âge - le mien, d'ailleurs, ou celui d'Internet - ou autre chose encore : mais on finit par se poser des questions sur ces mots qu'on donne à lire. C'est sans doute à force de consulter les plateformes sociales. Toutes ces images, ces vidéos, ces sourires affichés, qu'on voit quotidiennement. En sachant aussi ce qu'ils cachent. C'est notre époque : nous possédons des outils de plus en plus performants pour communiquer, mais ce que nous communiquons est souvent loin de ce qui nous anime véritablement. Souvent loin de ce que nous sommes. En résulte sans doute parfois un certain mal-être, qui est compensé par ces mêmes outils numériques nous offrant des solutions de méditation ou des cures de sommeil. C'est la montr