Je ne sais pas si c'est l'été parisien, le sourire des passants, les vacances de certains collègues, les voyages de certains amis, ou bien la chaleur ambiante, les chemises entr'ouvertes, les jupes effleurées par le vent… ou peut-être est-ce la nuit qui se fait désirer, les soirées en terrasse, les verres que l'on prend son temps à vider… À moins que ce ne soit mon anniversaire récent, et tout ce que cela implique, comme le renouvellement ultime de ma carte 12-25, par exemple. Toujours est-il que j'éprouve un sentiment de liberté, ces derniers jours.
Je ne me sentais pas particulièrement enfermé, muré, garrotté, jusqu'à présent. Ce n'est pas à proprement parler une libération. Simplement, à l'instant, je me sens libre. Autant que lorsque j'étais enfant, en Bretagne, et que je nageais dans l'infini de l'océan le premier jour des vacances. Autant que ces nuits passées à regarder les étoiles, une couverture sur les jambes. Autant que ces promenades en forêt, en automne, où les feuilles craquaient sous mes pieds. Autant que ces soirs où mes parents me portaient, endormi, de la voiture à mon lit - quand on rentrait de week-end. Autant qu'un jour de congé où l'on passe dix longues heures sur les pelouses du jardin du luxembourg, à bouquiner.
Lorsque l'on a le temps de ne pas aller vite.
Il faut profiter de ces moments-là pour vivre pleinement, faire les bons choix, penser à ce qui compte fondamentalement, se consacrer à l'essentiel.
Être le plus naturel possible. Se rappeler tout bas ces quelques phrases glanées ici ou là : “va, vis, et deviens”, “fais ce que tu sais faire, deviens ce que tu es”, “yesterday, you said tomorrow, just do it”, “Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles, si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles ! (…) Bref, dédaignant d'être le lierre parasite, lors même qu'on n'est pas le chêne, ou le tilleul, ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !”, “Mistakes are gonna be made. Minimize them, fix them, and move on”… et enfin : “say what you think not what you think you should say”.
Sur ce, bonne journée.
Lorsque l'on a le temps de ne pas aller vite.
Il faut profiter de ces moments-là pour vivre pleinement, faire les bons choix, penser à ce qui compte fondamentalement, se consacrer à l'essentiel.
Être le plus naturel possible. Se rappeler tout bas ces quelques phrases glanées ici ou là : “va, vis, et deviens”, “fais ce que tu sais faire, deviens ce que tu es”, “yesterday, you said tomorrow, just do it”, “Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles, si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles ! (…) Bref, dédaignant d'être le lierre parasite, lors même qu'on n'est pas le chêne, ou le tilleul, ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !”, “Mistakes are gonna be made. Minimize them, fix them, and move on”… et enfin : “say what you think not what you think you should say”.
Sur ce, bonne journée.
j'aime vraiment vos descriptions d'émotions, de sensations...ces petits moments de la vie mis en couleurs....bien des fois, je m'y retrouve et c'est la transcription de mes ressentis...merci de mettre en mots tous ces moments...je me régale à vous lire
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