Un malheur n'arrive jamais seul. Phrase terrible qui trouve parfois une triste réalité, et qui crée une atmosphère proprement anxiogène, puisque l'on en vient à attendre avec inquiétude les prochains désastres, à craindre la sonnerie d'un téléphone devenue signe de mauvais augure.
Le cas inverse est parfois vrai cependant. C'est la situation que je connais actuellement. D'un point de vue strictement universitaire-scolaire-estudiantin, Julie et moi terminons l'année sous les meilleurs auspices (and love), elle réussissant son rapport de stage et son grand oral, moi mon mémoire et ma soutenance. J'apprends que mon frère a réussi avec succès la présentation de l'INHESJ, qu'Aurélie a eu le Capes d'économie, que Nathanaël intègre l'IFP, que Damien a eu son bac avec mention bien, et 18 en philo s'il vous plaît, que Clémence a validé son année. Bref. Les bonnes nouvelles s'enchaînent, et rendent chaque journée agréable. En ce moment, je pourrais boire une flûte de champagne tous les jours sans que ce soit scandaleux.
Si j'écris ces lignes, c'est qu'il faut s'en réjouir, autant qu'il faudrait s'en plaindre, peut-être, si rien ne se passait comme prévu. Il faut savoir profiter des périodes propices, prospères, prometteuses, goûter enfin à la liberté que procure toujours le résultat d'un travail accompli.
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