J e ne sais même pas par où il faudrait commencer. Ce n'est finalement pas simple d'écrire face à une situation inédite, imprévisible, surprenante, historique. J'ai plutôt l'habitude de décrire ici de petits aspects du quotidien, de partager des réflexions personnelles, sans grande prétention. Soudain, le monde s'écroule. Tenir un blog en pleine crise sanitaire mondiale apparaît quelque peu illusoire. J'écrivais pourtant, sur ce même blog, il y a plusieurs années maintenant, ce sentiment de vivre depuis ma naissance le temps des crises perpétuelles . J'entendais parler depuis toujours - du moins était-ce mon sentiment - de crise. Crise de l'éducation nationale, crise du travail, crise identitaire, crise de l'hôpital, crise écologique bien sûr, crise migratoire, crise économique, j'en passe et des meilleurs. La crise était devenue la norme. Et c'est de nouveau le cas, il me semble. Nous vivons l'époque d'une crise continue.
J'avais liké sur facebook, pour te prouver que je peux aussi m'adapter, à la modernité..
RépondreSupprimerMais en fait, commenter parait plus approprié, alors voici.
J'ai lu tes articles, il faudrait dire: j'aime bien, mais de manière moins niaise. Ca me plait ? Et ce n'est pas seulement pour Rimbaud phantasme d'une génération..
Nous gagnerons Basile ! tu as raison, il faut persévérer positif.. se battre contre les gens qui veulent faire taire dans les trains ! et tous les autres !
m
J'avais vu ton surprenant likage, et ma joie était sans mesure. Ton désistement soudain est venu mettre un terme à mon allégresse. Et voilà que ce commentaire vient redonner toute sa vigueur à mon espérance. Tu es décidément très forte, « m. », pour entretenir le suspense et demeurer toujours imprévisible.
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