Combien de temps encore les nouvelles technologies seront-elles considérées comme nouvelles ? L'obsolescence des outils high-tech, la course au progrès, la recherche perpétuelle de l'innovation, les mises à jour répétées de Facebook, Twitter, LinkedIn, et de toutes ces autres plateformes sociales : tout cela doit nous amener à changer notre point de vue.
Non, ce n'est plus nouveau
Non, ce n'est pas réservé à la génération X, Y ou Z. Un internaute sur deux est inscrit sur Facebook aujourd'hui. Les smartphones se vendent comme des petits pains. Les tablettes se multiplient. Les usages se développent. Chacun doit donc y prendre sa part.
Nous avons ces nouvelles technologies en nous.
Nous avons de nouvelles habitudes, nous maîtrisons de nouveaux langages, de nouveaux mouvements (“Slide to unlock”, par exemple). Nos transports intègrent ces technologies, nos hôpitaux, nos médias, nos infrastructures, nos bâtiments, également. Tous les jours, nous les utilisons, consciemment ou non.
Elles sont là
C'est allé si vite, c'est vrai. Un clignement de paupière à l'échelle de l'Histoire des sciences et du Progrès. Comme si on s'était réveillé un matin, et que c'était là, tout ça : ces pages de Profil, ces requêtes Google, ces téléphones connectés en permanence au monde entier, ces objets connectés. Ces “likes”, ces “retweets”, ces “time lines”…
Il faut se faire une raison. Et puis se réveiller, aussi. Rester à l'écoute. Ne pas gâcher cette chance.
Vivre au présent, car ces nouvelles technologies ne sont plus à venir. Elles ne sont plus inertes, quelque part, à nous attendre, patiemment.
Elles sont là.
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